Championnat

Ligue 2 (16e journée) – Des matchs décalés pour se rapprocher

Ce samedi après-midi, la 16e journée de Ligue 2 se termine avec 2 matchs au menu : Clermont-Paris FC et Toulouse-Le Havre. L’objectif sera évidemment de rester au contact des équipes de tête. Notamment pour Le Havre, 13e, qui n’a plus trop le choix s’il souhaite jouer le top 5 cette saison. 

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Clermont-Paris FC

Ce n’est pas un match à 6 points, mais cela peut être un petit tournant dans l’hiver des 2 formations. Le CF63 n’est pas souverain dans ses résultats, malgré des prestations de bonne facture. Il manque parfois cette petite étincelle pour valider un jeu toujours aussi attrayant. A l’image du nul vierge concédé au Havre, lundi soir (15e journée). De fait, désormais 7es avec 24 unités, les Clermontois n’ont guère d’autre choix que de l’emporter à Montpied, pour espérer revenir à une longueur d’un Paris 4e. L’inverse deviendrait problématique, puisque les Auvergnats auraient alors 7 longueurs de retard sur le podium, et potentiellement 4 sur un top 5 qui pourrait se dessiner. En face, le PFC n’a plus gagné depuis 5 rencontres. Jadis leader, le club de la capitale est rentré dans le rang. Il aimerait, avant de défier un Guingamp en crise, revenir à hauteur de Grenoble (2e) et passer la barre des 30 points.

Toulouse-Le Havre

Toulouse semble de plus en plus inarrêtable. Le TFC n’a plus perdu depuis le 7 novembre, et valide constamment ses progrès dans le jeu. Mais aussi dans ses comportements. Parfois encore immature, la formation de Patrice Garande apprend à vitesse grand V. L’actuel 5e pourrait profiter d’un concours de circonstances pour s’inviter sur le podium de la Ligue 2 ce samedi soir. Bien sûr, il faudra avant tout battre un Havre peut-être plus solide et moins beau que jamais. Car les Havrais, après la claque prise à Sochaux (0-4), ont resserré leurs lignes. Paul Le Guen ne peut faire de miracles avec un effectif trop juste pour jouer les premiers rôles. Mais, sur un malentendu, le top 5 reste accessible. Enfin, il ne faudrait pas gâcher une nouvelle cartouche. Car déjà 13e, le HAC voit le train s’éloigner inexorablement…

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