L’ESTAC a changé de dimension depuis le rachat du City Football Group et son dernier mercato l’a prouvé. Troyes a recruté beaucoup de joueurs (17 joueurs) et a connu également de nombreux départs (13). Pour autant, certains dossiers n’ont pas pu aboutir. Dont celui menant à Amine Adli, joueur de Toulouse la saison dernière et qui avait brillé en Ligue 2 (il a finalement signé au Bayer Leverkusen). Le directeur sportif, François Vitali, revient sur ce dossier dans l’Est Eclair.
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« Jusqu’au bout j’ai appelé des joueurs. Je ne suis pas satisfait d’avoir échoué de temps en temps, mais je suis satisfait d’avoir essayé, et réussi pour certains, comme pour Xavier Chavalerin, qui était le premier joueur qu’on voulait recruter et qui est finalement arrivé. Amine Adli ? On a tenté, parce que c’est le projet du groupe. D’avoir des joueurs confirmés de L1, d’investir sur des jeunes talents français ou étrangers. Mais il semble que notre crédibilité pour attirer ce genre de joueur ne soit pas suffisamment importante. Le temps nous aidera. »
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