Rodez a réalisé un parcours magnifique en Coupe de France avec les éliminations de Saint-Etienne, de Monaco ou d’Auxerre à l’extérieur. Malheureusement, la fin de l’aventure laissera un goût amer au RAF avec une claque reçue sur la pelouse de Toulouse (6-1) ce mercredi en quart de finale. A l’issue de cette prestation, les mots étaient évidemment teintés de tristesse et de colère chez le coach comme les joueurs.
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Didier Santini (L’Equipe) : « En première période, on avait l’impression de voir des adultes contre des gamins de 15-16 ans. On a joué contre une équipe 10 fois supérieure à nous, ça allait trop vite. Celle-là, elle fait bien mal où je pense, pour rester poli (…). Eux ont été bons, on a été archi nul. Chaque fois qu’ils rentraient dans la surface, on a été en perdition, sans notre gardien, on en aurait pris huit ou dix. »
Killian Corredor (Centre Presse Aveyron) : « Maintenant, je ne vais pas mentir : je suis dégoûté et j’ai limite honte. Prendre 6-1… On ne doit jamais prendre ce score, surtout après avoir fait ce parcours. On va devoir se concentrer sur les choses importantes et ça commence samedi à Niort. On est professionnels, on a des devoirs et demain on va devoir passer à autre chose. Dans le vestiaire à la fin du match, c’était glacial. Mais le président nous a parlé, il nous a remobilisés. Et il va falloir qu’on se bouge le cul pour aller gagner samedi. »
Photo by Hugo Pfeiffer/Icon Sport
Rodez a été une honte ! Sacrifier un quart de finale contre Toulouse pour un match pour le maintien, alors que l'on sait très bien que la saison prochaine sera en national... Un entraîneur dont la seule qualité c'est sa ressemblance avec Francis Cabrel, la moitié de l'effectif constitué de joueurs prêtés qui ne seront plus là... À vouloir faire attention au moindre centime, on passe pour des pitres. Aucune ambition, aucune volonté de bien jouer... Laurent Peyrelade doit bien rigoler...