La saison dernière à la même époque, l’AJ Auxerre connaissait également un démarrage compliqué en Ligue 2. Mais avant Pablo Correa, c’était Francis Gillot qui devait porter les espoirs de remontée du club bourguignon. Une mission qui aura tourné court, avec un départ début décembre avant la moitié du championnat. Invité de l’émission « Le Vestiaire » ce lundi sur RMC Sport 1, le technicien est revenu sur cette expérience et sur ce qui l’a poussé à s’en aller.
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« La page est tournée. J’avais un deal avec le président Francis Graille, je voulais vraiment me relancer à l’AJA. Je ne voulais pas entraîner en Ligue 2, mais il m’avait vraiment convaincu de venir chez lui. Et en fait, je n’avais pas de plaisir. Pour des raisons que je ne peux pas dire ici, mais certains joueurs n’ont pas joué le jeu. Et ça m’a énervé. J’étais en fin de carrière par rapport à un jeune coach qui aurait pu être patient. Des choses se sont passées, et ça ne m’a pas plu. Ils n’étaient pas dans l’esprit. J’aime bien les joueurs qui se donnent les moyens de réussir. Je savais qu’il fallait être patient, aujourd’hui encore Auxerre ne marche pas. Peut-être que ça viendra l’année prochaine. Mais je n’ai pas été assez patient.«
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