A chaque journée de Ligue 2 ses matchs décalés. Souvent pour les mêmes équipes. Celles dont les résultats sont excellents. Celles qui attirent l’oeil. Ainsi, Lens, Metz ou encore Brest et Lorient sont privilégiés sur les cases du samedi et du lundi. Depuis la trêve hivernale, d’ailleurs, aucune rencontre des Sang et Or n’a eu lieu le vendredi. Alors, est-ce un handicap ou un avantage d’évoluer après tout le monde ? En quoi cela peut-il influer sur le résultat final ? Nous avons recueilli l’avis de Franck Blondeau, préparateur mental de plusieurs joueurs en Ligue 2.
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MaLigue2 : Franck, jouer après ses concurrents directs peut-il avoir une incidence sur le mental des joueurs ?
Franck Blondeau : Le joueur, à partir du moment où il connaît le résultat d’autres équipes, est influencé. Il peut être parasité dans l’approche de son match, que ce soit dans l’obligation de gagner ou celle de ne pas perdre. Des pensées parasitaires peuvent également se transformer en pensées motivantes. En préparation mentale, il est important de focaliser les joueurs sur ce qui dépend d’eux. Sur ce qu’ils peuvent contrôler. Il convient de se concentrer sur le match à venir, sur le plan de jeu. Il faut faire abstraction du résultat, et ainsi rejeter cette fameuse peur de gagner. Car oui, cette peur peut se ressentir.
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