Cela s’agite à nouveau au sein de l’actionnariat de La Berrichonne de Châteauroux. Face aux « frondeurs », qui se sont exprimés ce week-end par le biais d’un communiqué, le président délégué castelroussin, Bruno Allègre, est revenu sur la situation, et a répondu sans se démonter aux accusations du porte-parole Bertrand Cotillon.
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« Dans ce pactes, il y a un rassemblement de gens qui n’ont aucun point commun. 3-4 ont un même point commun. Ils sont aigris, haineux, ne supportent pas de faire partie du conseil d’administration de La Berrichonne. Un nous a expliqué qu’à 76 ans, il ne souhaitait pas se représenter. Un autre a acheté des actions de la Française des Jeux, et qui a démissionné. Et un autre, le porte-parole, qui a une attitude en tribune que beaucoup de gens ont entendu, et qui ne correspondent pas aux valeurs de ce que peuvent être celui d’un administrateur d’un club de football. Cette traduction se révèle par rapport aux propos sur les joueurs.
Je confirme qu’une troisième offre a été refusée. Michel Denisot a passé beaucoup de temps dessus, mais cela n’a pas pu aller au bout. Cela ne veut pas dire que c’est fermé. Le seul salarié du club qui, en première ligne, affirme haut et fort qu’il faut que le club soit vendu, c’est moi. Le seul qui a un problème par rapport à ça et qui quittera la structure quand le club sera vendu, c’est moi. Et pourtant, j’y suis totalement favorable. Car l’attitude des actionnaires minoritaires est nuisible au club, et aux salariés de ce club. »
Source : France Bleu Berry