Le Paris FC a touché de près l’exploit, avant de retomber dans sa normalité. Cette exception n’a pas protégé Mécha Bazdarevic contre un retour à l’ordinaire trop peu savoureux aux yeux de ses dirigeants. L’actuel 19e de Ligue 2 devra trouver les ressources de se sauver sans son coach, dont la collaboration a pris fin d’un commun accord à quelques heures de 2020.
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Un entraîneur et un staff inquiets, déjà, en juillet dernier. Le PFC version 2018-2019 avait vécu. Il voyait ses forces vives le quitter. Karamoko, Akichi, Perraud, Wamangituka notamment. Lui, malgré les sollicitations extérieures, a réitéré sa confiance en ses dirigeants. Une confiance dont il peut, aujourd’hui, mesurer les effets…
Une équipe chamboulée
Oui, son inquiétude était légitime. Allait-elle disparaître ? Le doute restait permis. Mais pour revivre une saison similaire à la précédente, le temps manquait. Le club devait se remettre d’un (début de) mercato raté. La correction n’a pas été à la hauteur des enjeux. Les latéraux n’ont pas été remplacés, le milieu, garant du bloc parisien l’an passé, a perdu 2 de ses 3 joueurs et s’est fissuré. Laissant Mandouki désarmé, impuissant. Le déséquilibre a bousculé la défense jusqu’alors hermétique. Lopez et Lalaïna ont même été utilisés comme pistons. Vincent Demarconnay, lui, est passé de gardien héroïque à doublure. Fin août-début septembre, ce PFC se destinait à jouer le maintien jusqu’au bout.
Une responsabilité peu évidente
L’illusion d’un meilleur passage en octobre-novembre (une défaite en 6 matchs) a peut-être laissé entrevoir une « remontada » en des dirigeants qui venaient de réussir un « coup » en signant Jérémy Menez. Il n’est pas certain que son apport ait amélioré la vie de groupe devenu pléthorique. Les prestations, elles, n’ont jamais permis d’être pleinement rassuré. Et puis, le PFC est retombé dans ses travers. Chutant à Nancy, à Valenciennes, plus lourdement contre Guingamp et Le Mans. Un dernier revers fatal à Bazdarevic, dont la responsabilité dans ce lendemain de saison presque bénite n’est guère évidente. En tout cas moindre que d’autres…
C'est une chance pour BAZDAREVIC car c'est un excellent entraîneur et il retrouvera facilement une équipe ambitieuse. Tous les supporters du PFC savent qu'il n'est en rien responsable du recrutement (et absence de recrutement !) cet Été ... car ça c'est la faute de DREOSSI+FERRACCI. Il est sûr aussi que ce n'est pas lui qui a eu l'idée ridicule de faire venir MENEZ qui est pitoyable et a amené une mentalité pourrie sur le terrain (et en dehors aussi ?). Bonne chance à BAZDAREVIC ! Dans lui le PFC semble malheureusement très bien parti pour le National ... sans nous. Un supporter du PFC.
C'est une chance pour BAZDAREVIC car c'est un excellent entraîneur et il retrouvera facilement une équipe ambitieuse. Tous les supporters du PFC savent qu'il n'est en rien responsable du recrutement (et absence de recrutement !) cet Été ... car ça c'est la faute de DREOSSI+FERRACCI. Il est sûr aussi que ce n'est pas lui qui a eu l'idée ridicule de faire venir MENEZ qui est pitoyable et a amené une mentalité pourrie sur le terrain (et en dehors aussi ?). Bonne chance à BAZDAREVIC ! Sans lui le PFC semble malheureusement très bien parti pour le National ... sans nous. Un supporter du PFC.