Toujours lanterne rouge de Ligue 1, L’Angers SCO aurait pu se retrouver à huit points de l’avant-dernière place dimanche soir. La formation entraînée par Abdel Bouhazama a conservé de justesse le point du match nul contre Auxerre, 19e (1-1). Il a fallu que la barre transversale de Paul Bernardoni sauve les Angevins sur le penalty d’Abline à la 93e minute. Si le score de parité n’arrange personne, il permet au coach de s’accrocher à un mince espoir.
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« Avant le penalty, je me suis dit : « c’est fini, les carottes sont cuites. » On aurait pu être condamné. Mais ça touche la barre et on est encore vivant. J’y vois un signe du destin… On est sur une série de trois matches où on ne perd plus. Vous allez me dire qu’on ne gagne pas non plus, mais malgré tout, j’ai envie de positiver car on prend un point sur nos adversaires directs. J’ai envie de m’appuyer sur ce petit matelas d’espoir, j’y crois encore […] On va être honnête, j’espérais plus. L’ouverture du score face à un adversaire qui n’est pas bien non plus, en manque de confiance aurait dû nous libérer. Mais c’est tout l’inverse que j’ai vu. »
Source : Ouest-France
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