Coupe de France

Amiens – Philippe Hinschberger : « On veut faire parler la différence de niveau » avec l’Aiglon du Lamentin

Paul Charruau, qui devait logiquement débuter le match du 8e tour de Coupe de France ce samedi, souffre malheureusement d’une douleur à la jambe suite à une glissade à l’entraînement. Philippe Hinschberger évaluera donc si son gardien remplaçant pourra débuter ou s’il privilégiera Régis Gurtner. L’Aiglon du Lamentin (R1 Martinique) n’est pas l’adversaire le plus impressionnant auquel les Picards seront opposés cette saison mais représente tout de même un test intéressant pour l’Amiens SC, qui doit faire preuve d’autorité à domicile.

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« Il n’y a pas de formalité dans le sport. Dans le sport, tu as toujours un adversaire à battre, donc plus qu’une formalité. Oui, on veut faire parler la différence de niveau, qui plus est sur notre terrain. Bien sur nous viserons la qualification pour le 32ᵉ. Cela sera la volonté de l’adversaire aussi au coup d’envoi, c’est à nous d’imposer notre notre jeu. Vous savez que globalement sur le match, y aura pas forcément cinq divisions d’écart. On a pris un maximum d’informations sur cette équipe. Naturellement, il y aura certainement trois ou quatre bons joueurs dans cette équipe du Lamentin. On aura l’occasion de le vérifier dès samedi après-midi. C’est aussi pour nous l’occasion de relancer la machine. »

« Je répète que depuis trois matches, on a des stats qui sont simplement deux ou trois fois supérieures, je n’exagère pas, à tous nos matches du début de saison qu’on a gagné aujourd’hui. C’est juste pour nous une question d’efficacité. On a aussi sur les trois derniers matches des décisions d’arbitrage qui sont défavorables. Je ne reviens pas sur le penalty. Alors, bien sûr, on va me dire qu’on doit marquer autrement, mais dans la chronologie du match si tu marques ton pénalty, ça te fait ouvrir le score. On sait ce qu’on fait bien. Ce qu’on fait mal actuellement, c’est clairement décrypté. Améliorer notre efficacité dans les deux surfaces, ça reste quelque chose de très très subjectif à dire, mais de très très objectifs à réaliser. »

Photo Loic Baratoux/FEP/Icon Sport

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