Un peu bloqué du dos, Jean-Marc Furlan a laissé sa place exceptionnellement ce vendredi en conférence de presse à son adjoint Michel Padovani. Le technicien a évoqué la réception de Dunkerque ce samedi (15 heures) en ouverture de la 36e journée de Ligue 2. Un match très important pour Auxerre dans la lutte pour la montée en Ligue 1.
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« Gaëtan Charbonnier avait pris un coup sur le genou, il a repris normalement. Théo Pellenard aussi. Le seul absent sera Mathias Autret (suspendu). Je ne pense pas que le groupe se mette beaucoup de pression. On aborde les matchs sans pression, en essayant de jouer. Cela marche plutôt pas mal. Le groupe était déçu après Caen (1-1), parce qu’à onze contre onze, je pense qu’on aurait gagné. Prendre ce but magnifique à la fin, c’était décevant. Cela fait un moment qu’on ne pense qu’à nous. On ne pense pas à Paris, Sochaux ou Ajaccio. Tout le monde est dans le money-time. On essaie de faire du mieux possible à chaque match. Sur les 11 dernières journées, on a gagné 8 matchs, pour 2 nuls et 1 défaite. Notre philosophie n’est pas de jouer avec la pression. Il faut qu’on soit tranquille pour faire un bon résultat.
Méfiance contre Dunkerque
A partir du moment où on joue devant 13 ou 14 000 personnes, on ne pense pas à jouer à 15 heures ou à 19 heures… J’aimerais bien qu’Ajaccio se mettre la pression plus la saison avance. Ils accueillent Le Havre, il y a un petit contentieux entre ces deux clubs. J’espère que le HAC jouera le jeu. Caen contre nous a joué à fond et c’est normal. Mais j’avais vu le match Dijon-Ajaccio (0-3) et je trouve qu’ils n’avaient pas joué le jeu, je ne suis pas d’accord avec cela. Dunkerque joue son maintien, c’est leur dernière chance un peu contre nous. Ce sont des matchs très très dangereux. Si on pense que ce sera facile parce qu’ils sont 19e, là ce sera compliqué. Si on on aborde le match comme si on jouait Toulouse, ce sera toujours difficile car Dunkerque ne perd toujours que de peu, mais si on respecte l’adversaire ça sera mieux. Contre Nancy qui était dernier à l’époque, on n’avait pas gagné (1-1) donc on fera attention. »
