Samedi soir, face à Saint-Etienne (2-3, 16es de finale de Coupe de France), le Paris FC a pu compter sur un excellent Cyril Mandouki. Le milieu de terrain, porteur du brassard, n’a pas semblé impressionné par le 15e de Ligue 1. Désormais, il convient de reproduire ce genre de prestation en Ligue 2, où l’avant-dernier n’est pas sauvé, loin de là. Le joueur revient sur le changement de coach, qui pourrait bien être bénéfique.
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« Contre Le Mans avant la trêve, c’était le néant, il n’y avait rien. On s’est tous remis en question. Malheureusement, le changement d’entraîneur y a contribué. Dans le foot, le coach paye en premier les pots cassés. Mais ce n’était pas seulement de sa faute. C’est nous, les acteurs, qui sommes sur le terrain. Pour Mécha et le nouveau coach, on doit se donner à fond. […] Dès son premier discours, il (René Girard, ndlr) a dit qu’il ne nous ferait aucun cadeau, qu’il serait très pointilleux sur les horaires ou notre investissement. Il a instauré ses règles et une grosse discipline. »
Source : Le Parisien
