Le match entre le Paris FC et les Chamois Niortais, vendredi soir (0-0, 28e journée de Ligue 2), a notamment été marqué par le penalty non sifflé par M. Varela en deuxième période. Un choix contesté par Mécha Bazdarevic et le président Ferracci. Cependant, Pascal Plancque, le coach niortais, estime que sa formation aurait également pu se plaindre d’un but refusé en début de rencontre. Sans en faire tout un scandale.
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« Venir prendre un point chez le 5e est un bon résultat. Sur le contenu du match, il est mérité, pas volé. Nous avons défendu intelligemment, avec de la générosité. Nous avons quelques opportunités pour marquer. C’est un partage des points équitable. Le but refusé en début de match l’est de façon sévère pour ne pas dire plus. On peut s’estimer nous aussi frustrés, lésés, mais on ne réclame rien, on dit rien. Cela fait partie des aléas des matchs. Paris a des opportunités en première période, car nous avons mal abordé ce match. Mais, après, nous avons retrouvé une certaine maîtrise. En deuxième mi-temps, la plus belle occasion est pour nous. Chacun a sa vision des choses. Je persiste à dire que ce point est largement mérité. »