Bien que viscéralement attaché au FC Metz, Albert Cartier n’en oublie pas moins l’AS Nancy-Lorraine, son premier club pro comme joueur. Ce vendredi, il revient en Lorraine avec son équipe du GFC Ajaccio. Cette affiche de la 29e journée de Domino’s Ligue 2 entre le 16e et le 18e sent la poudre. Le technicien natif de Vagney (Vosges) espère voir l’ASNL se maintenir à l’issue de la saison, mais bien évidemment s’incliner sur cette rencontre.
A lire aussi >> Après un magnéto-thérapeute, un préparateur mental arrive à Nancy
« Je suis évidemment surpris de retrouver l’ASNL dans une telle situation, compte tenu de l’effectif et de l’histoire du club mais, d’un autre côté, je connais les difficultés rencontrées chaque année par les clubs venant de L1. C’est arrivé aussi à Auxerre et à Lens par exemple. Il faut souvent un certain temps pour se réadapter à la L2. […] Mes parents m’ont toujours dit qu’il ne fallait jamais souhaiter du mal à quelqu’un, sinon, ça se retourne contre toi. Bien sûr qu’on est concurrent direct avec Nancy, il n’y aura pas de pitié vendredi, mais j’espère que les deux équipes se sauveront à l’arrivée. Il s’est passé plein de choses depuis, mais je n’oublie pas ce que j’ai vécu et appris ici, à l’ASNL, mon premier club pro. »
Source : L’Est Républicain