Championnat

Denis Petric « Tout le travail n’est pas remis en cause »

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Le lancer de ballon, formule esthétique…

L’ESTAC avance plus difficilement depuis quatre rencontres, mais reste sur le podium de la Ligue 2. Avant de recevoir Valenciennes cet après-midi, le gardien troyen Denis Petric évoque la situation de son club.

MaLigue2 : Vous avez réalisé un très gros début de saison avant ces 3 défaites en 4 matchs. Vous avez remis l’accent sur l’aspect défensif à l’entraînement ?

Denis Petric : On était sur une bonne série, suite aux trois défaites on a travaillé sur vidéo, on a analysé cela. Il faut se remettre en question, mais il n’y a pas plus de choses faites qu’avant, à l’entraînement comme en match.

On avait interviewé Stéphane Darbion avant votre première défaite, il disait qu’en football tout ne pouvait pas toujours s’expliquer. J’imagine que vous ne doutez pas non plus de votre force suite à ces revers, ça ne remet pas tout en cause ?

Exactement, tout le travail fait depuis le début n’est pas remis en cause. Je pense que l’équipe était bien, je l’avais souligné avant le début de saison comme l’équipe n’avait pas beaucoup changé par rapport à l’année dernière. On a essayé de continuer sur notre bonne fin de saison, c’était plutôt réussi. Effectivement, parfois en football on ne peut pas tout expliquer, j’espère juste qu’on va réussir à prendre les points sur les matchs à venir.

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« Quand on ne prend pas de but, c’est toute l’équipe qui se sent plus forte »

En tant que gardien, il doit y avoir une certaine frustration d’encaisser à nouveau des buts ?

Toute l’équipe se sent plus forte quand on ne prend pas de but, c’est un ensemble. Le plus important est de ne pas tout remettre en question et commencer à douter, loin de là, il faut être conscient de notre force mais aussi de nos défauts et essayer de retrouver ce qui nous réussissait en début de saison et fin d’année dernière, cette solidité défensive et l’efficacité offensive églement.

Vous êtes titulaire à Troyes, club qui joue la montée. A 26 ans, vous avez une belle marge de progression, ça doit vous donner envie de goûter à l’échelon supérieur ?

C’est sûr. Personnellement, j’ai connu la Ligue 1 avec Auxerre, j’étais en formation. Je suis allé chercher du temps de jeu à Istres, ça s’est plutôt bien passé. Maintenant, à 26 ans, c’est le bon âge pour progresser encore pour un gardien, et pourquoi pas aller goûter la Ligue 1, je travaille tous les jours pour.

Crédit photos : ESTAC

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