Championnat

ASSE – Olivier Dall’Oglio après Rodez (2-0) : « J’ai senti de la détermination dans le vestiaire à la mi-temps »

Frustrés lors des trois dernières journées de championnat, l’ASSE et ses supporters auront de quoi rêver au cours des prochains jours. Entreprenants, les Verts ont nettement dominé leur adversaire ruthénois lors du second tour des play-offs de Ligue 2 et ont décroché une qualification méritée. Ils défieront Metz les 30 mai et 2 juin prochain pour tenter de retrouver l’élite. À l’issue de la rencontre, l’entraîneur stéphanois, Olivier Dall’Oglio, s’est exprimé en conférence de presse.

À lire aussi >> Ligue 2 (Play-off 2) – Face à Rodez, Cardona et Mbuku libèrent Geoffroy-Guichard et permettent à l’ASSE de continuer à croire en la montée

« Il fallait passer coûte que coûte, on est passé. Avec un match accompli, je trouve. On a eu beaucoup d’occasions. On a pris le match comme il le fallait d’entrée, on a mis de la pression et de la profondeur, c’était intéressant. Ce qui fait toujours un peu peur dans ce genre de match, c’est de ne pas conclure (…) J’avais confiance en les garçons, j’ai senti de la détermination dans le vestiaire à la mi-temps. On savait qu’on aurait d’autres occasions en seconde période, on en a moins eu mais on a réussi à marquer deux buts. C’est intéressant pour le mental d’être récompensé de tous ces efforts (…) On doit trouver la coordination entre le passeur, le centreur. La bonne solution. Il faut mieux travailler notre positionnement dans les 18 mètres adverses. On doit pouvoir marquer plus que ça en se procurant autant d’occasions (…) À l’échauffement, on a senti que les joueurs étaient là, mais sur un match de football, on n’est à l’abri de rien (…) Avec le public derrière, ça a été extraordinaire. Je pense qu’il nous a porté un peu à un moment où les deux équipes étaient fatiguées (…) On a besoin d’un effectif solide, prêt, avec un minimum de blessés. On arrive à des moments-clés, c’est pour ça qu’on a besoin de tout le monde. On sait qu’Irvin (Cardona) est un peu l’arme fatale, il peut marquer à tout moment. »

Photo Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *