« Beaucoup de personnes ont certainement mésestimé le départ de mon prédécesseur. » Sans langue de bois, Pascal Plancque a lâché ce que, paradoxalement, beaucoup pensaient. C’était le 25 février dernier, au soir d’une défaite 4-1 à Lens. A l’époque où les Chamois Niortais commençaient à perdre le goût du succès. Depuis, il est tout simplement oublié.
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René-Gaillard, vendredi soir. Niort vient de traverser son quatrième match de rang sans marquer. Pis, l’absence de rébellion laisse perplexe, interroge. Comment ces joueurs si virevoltants durant la phase aller ont pu à ce point transformer un collectif rafraichissant en une formation moribonde ?
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