Sans rien demander, Olivier Pantaloni s’est retrouvé avec 2 matchs de suspension à purger en plus. Comme si ces 4 rencontres, dont une avec sursis, n’étaient pas suffisantes. La commission d’appel de la FFF a rendu cette décision en ce début de semaine, faisant sortir les dirigeants acéistes de leurs gonds, et le coach corse qui ne comprend.
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« Je suis scandalisé. Il faut se souvenir de ce qui s’est passé. Il y avait eu une première décision deux ou trois jours après le match, qui était une suspension de deux matchs. Très vite, c’est passé à quatre, dont un avec sursis. Et là, c’est six matchs ferme. Ce qui me choque, c’est la disproportion entre ce qui s’est passé sur le terrain et les sanctions qui me sont infligées. »
Ce qu’il s’est passé ? C’est une bouteille d’eau jetée à terre par dépit. « Elle roule et rentre de 20 cm sur le terrain. Encore une fois, c’était un geste de dépit, pas un geste de réprobation d’une décision arbitrale. M. Schneider vient et me dit que compte-tenu du fait qu’il y a des caméras, par rapport à la vision que peuvent avoir les gens… Il ne me laisse pas parler. Il me demande d’aller en tribune. Je suis jugé sur ce fait de jeu et je prends pour ça six matches ferme. Je crois que c’est unique dans les annales… […] Prendre deux matchs, c’était logique à partir du moment où j’étais expulsé, mais après il y a eu une surenchère. Pour moi, comme cela a été signalé par Léon Luciani et Alain Orsoni, il y a un acharnement anti clubs corses. Je le dis. C’est proprement scandaleux. Ça va au-delà : c’est une décision politique. »
Source : L’Equipe
Pour les français, il ne faut pas toucher à tout ce qui touche à Evian ou à Vichy, c'est sacré pour eux. Mais non messieurs c'était de l'eau corse. Vous savez la Corse, cette île qui a été libérée bien avant vous, par des gens qui en avaient.
l'AC Ajaccio commence à nous les briser menu avec ses doléances et autres Pantalonades. Z'avaient qu'à savoir se tenir et pis c'est tout ! OLIVIER PANTALONI EST « SCANDALISÉ » SUR LA « DISPROPORTION » ENTRE LA RÉALITÉ ET LES SANCTIONS, « C’EST UNE DÉCISION POLITIQUE »... c'est l'hôpital qui se fout de la charité et c'est à se pisser de rire !
Mais bien sûr, ça c'est toujours fait, 6 matchs pour une bouteille d'eau jetée.