En ratant deux penalties à Lille (0-2), Metz a laissé filer sa chance dimanche lors de la 14e journée de Ligue 1. Simon Elisor puis Lamine Camara ont buté contre un Lucas Chevalier en grande forme. En conférence de presse, le coach László Bölöni a regretté d’avoir vu son équipe passer à côté des moments clés.
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« Je ne voudrais pas commencer par les penaltys. J’ai déjà joué un match où l’adversaire a raté quatre penaltys, dans une finale de Coupe d’Europe (ndlr, victoire du Steaua Bucarest en Coupe de Club Champions en 1986, quatre tirs au but ratés par le FC Barcelone). J’ai apprécié notre prestation, surtout en deuxième mi-temps. Ce qui nous fait mal, c’est plutôt de ne pas réussir à avoir plus de puissance, plus de réalisme sur nos attaques, pour finir nos actions. Quelques montées de balles, quelques mouvements dangereux ont été arrêtés à quinze, vingt mètres et je crois qu’il faut mieux les exploiter. Après, la fin de match était assez intense alors imaginez si on avait marqué un penalty… Ça aurait pu être autre chose. D’ailleurs, j’ai vu trois penaltys, pas deux. S’il doit y avoir dix penaltys, il faut siffler dix penaltys. Mais je veux insister sur les choses positives pour garder une bonne dynamique […] Il y a plusieurs moments psychologiques qui peuvent jouer un rôle. Je ne sais pas si vous avez entendu la réaction du public quand on a loupé le premier penalty : le bol d’oxygène n’est pas arrivé chez nous, il est arrivé de l’autre côté. »
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