À sept points du dernier non-relégable, Niort n’a plus le droit à beaucoup de faux-pas avant de recevoir Caen pour le compte de la 32e journée de Ligue 2. Après une prestation réussie à Valenciennes sur le plan défensif principalement (0-0), le manager général, Bernard Simondi attend un peu plus encore de son équipe pour passer la vitesse supérieure.
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« Nous devons passer à autre chose et avoir une autre dynamique. On essaie de mettre en place des mécanismes, dans la complicité, dans des secteurs de jeu, dans la récupération et la projection, qui nous permettent d’avoir un peu plus de cohérence et un peu plus de fois dans le domaine offensif. On a impliqué un certain nombre de joueur à avoir une démarche dans le jeu offfensif qui soit plus cohérente que ces derniers temps. À Valenciennes nous avons été généreux et parfois assez cohérents dans notre positionnement pour empêcher nos adversaire d’avoir trop d’occasions. Aujourd’hui à domicile, ce n’est pas ce que nous allons rechercher. On va apporter une recherche de complémentarité sur le plan offensif. »
Sur la « Boutobba-dépendance » : « Ce n’est pas nouveau, c’est une réalité sur le plan comptable. J’espère simplement que les gens qui vont être alignés vont être un soutien à cette démarche que Bilal peut avoir. Si nos adversaires n’ont qu’à se préoccuper de Boutobba, ça ne va pas aller […] Ce n’est pas un individu qui crée un collectif mais c’est un collectif qui permet à un individu, en fonction de sa potentialité footballistique, d’apporter le mieux. »
Sur l’homologation de son contrat : « Il y a une réglementation. et il y a des fonctionnements dans les clubs qui sont, à quelques variables près, un peu différents. Niort a un staff technique qui a été modifié à mantes reprises. Ma venue n’est pas pour rajouter une personne supplémentaire pour entendre un discours encore différent. Je suis là pour apporter une certaine expérience avec un fonctionnement mais je ne suis pas là pour apporter une nouvelle voix. Objectivement, les joueurs ont eu quatre changements d’entraîneur : ils n’ont pas besoin d’entendre encore un autre discours. Que je ne sois pas debout sur le bord du terrain n’est pas forcément un problème majeur dans le sens de la démarche que nous opérons avec Oumar (Tchomogo). Maintenant, ça ne leur convient pas[…] Si le club est obligé de changer de fonctionnement par la commission, le club le fera […] On a dit que je ne connaissais pas les joueurs. J’étais là depuis quelques semaines : je me suis trompé entre Joris (Moutachy) et Yanis (Merdji). Je ne me suis pas trompé entre Edmond et Mohamed ! Joris/Yanis, la proximité du verbe… C’est presque pareil sur le son. Me dire que j
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Photo by Loic Baratoux/FEP/Icon Sport
