Au lendemain de sa qualification historique en quarts de finale de la Coupe de France, Annecy a hérité d’un gros morceau lors du tirage au sort. En effet, le club haut-savoyard devra affronter l’Olympique de Marseille lors du prochain tour de la compétition, un match qui sera d’autant plus difficile pour les Annéciens qu’il sera disputé à l’extérieur ! Mais Laurent Guyot est tout de même heureux de pouvoir se mesurer à un adversaire si qualitatif et sait que ses joueurs vont tout donner pour essayer d’accomplir l’exploit.
A lire aussi >> Coupe de France 2023 – Le tirage complet des quarts de finale
« C’est beaucoup de plaisir, parce que pour tout remettre dans son contexte, le FC Annecy est en train de se construire avec une magnifique aventure depuis plusieurs années. Se retrouver à jouer un quart de finale de la Coupe de France, c’était déjà très beau, en plus tirer l’Olympique de Marseille, aller jouer au Vélodrome… c’est évidemment une tâche très, très, très difficile, mais en tout cas c’est beaucoup de plaisir. On jouera sur nos valeurs et on donnera le meilleur de nous pour chercher à se qualifier, si c’est possible ! »
« C’est un adversaire plus qu’à la hauteur, c’est Marseille, c’est une légende du football français, c’est un stade mythique. Forcément, ils sont archi-favoris sur un match comme ça. A nous déjà de bien négocier les matchs de championnat qui vont se présenter avant, parce que c’est ça le principal. Et puis bien se préparer, quand le match se présentera, pour être à 100% et on verra bien ce que ça donnera à ce moment-là ! Je pense que la motivation des joueurs sera énorme. On a vécu à Saint-Étienne un moment assez important, parce qu’on était dans un stade mythique qui était à moitié rempli, ou à moitié vide, ça dépend comment on se place. Là, pour un quart de finale, on aura sûrement un Vélodrome bien garni. Je pense que ça sera une aventure fantastique pour tout le club et surtout les joueurs. »
« La logique voudrait que l’OM l’emporte parce qu’il sont largement au-dessus de nous et largement meilleurs que nous. A nous de nous mettre dans la peau du challenger en Coupe de France et des exploits, en Coupe de France, c’est arrivé dans les années précédentes. Donc pourquoi pas nous ? »
Photo Maxime Le Pihif/FEP/Icon Sport
