Même si les affluences de Ligue 2 sont bien plus basses que celles de Ligue 1, la jauge maximale autorisée de 5 000 personnes dans les stades donne des maux de têtes à plusieurs entités. Des clubs qui pourraient voir des stades garnis de 10 000 spectateurs ou plus. C’est le cas à Sochaux, qui voit la fréquentation de Bonal obligatoirement chuté. Le manager général doubiste, Emmanuel Desplats, confirme une certaine perte financière.
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« On a forcément perdu de l’argent, même si le prix moyen du billet a un peu augmenté par le besoin de mettre des spectateurs dans tous les secteurs. Si on devait continuer encore de la sorte, on serait sur les affluences de janvier, c’est à dire des plus basses de la saison, et notre perte serait de 30% du chiffre d’affaires, dont 10% sur la billetterie. »
Source : L’Est Républicain
Qu'on ne vienne pas nous chanter que, dans un stade d'une capacité de 20 000 spectateurs, on ne peut pas en accueillir au moins 8 000 en toute sécurité. Faut-il rappeler la situation dans les transports en commun tels que le "métro" bondé chaque jour aux heures de pointe ; ou encore les amphis dans les universités où "la jauge" n'a été réduite que de 50%, soit 200 étudiants accueillis pour 400 places disponibles ; où tous les sports sont pratiqués dans les gymnases quand les salles de sport privées, elles, sont fermées. Ces gens, prétendûment libéraux mais tous hauts fonctionnaires, sont en train de mettre à mort l'économie du sport comme ils massacrent l'économie en général, dans le seul souci de mener à son terme leur agenda politique.