Ce lundi soir, en clôture de la 4e journée de Ligue 2, Auxerre reçoit Troyes à l’Abbé-Deschamps. Un stade où les Bourguignons ont été défaits à 2 reprises, en 2 sorties. De plus, les Auxerrois seront privés de Birama Touré, touché par le Covid-19. Pas forcément de quoi réjouir le coach Jean-Marc Furlan.
A lire aussi >> Ligue 2 (4e journée) – Le groupe d’Auxerre face à Troyes
© Photo AJA
« Tu as des situations qui vont pénaliser certaines équipes, et des situations qui en favoriseront d’autres. C’est souvent comme cela. La crise sanitaire a impacté de nombreux métiers, alors que d’autres, comme quand tu es boulanger. Quand tu as le confinement et que tu n’as rien d’autre à faire, tu vas chez le boulanger, acheter du pain. C’est pareil pour le football. Après, c’est mieux d’être dans le dur maintenant que dans le money time.
Par rapport à notre calendrier, je me disais qu’il fallait vraiment que l’on soit top. Désormais, comment se mobilise-t-on ? Car on a un certain désavantage par rapport aux équipes que l’on joue à domicile. Quand on reçoit Sochaux, l’impression d’avoir en face, une équipe de Ligue 1 sur le plan athlétique, physique. On reçoit Sochaux au top. En plus, tu prends un but à la 3e. Les vents sont contraires. Ensuite, tu reçois Clermont, comme Troyes, qui n’a pas changé un joueur. Nous, quand tu as 7 nouveaux, dont 6 titulaires, tu te rends compte que dans la fluidité et les automatismes, tu es plus loin que les autres, en retrait. Cela m’a sauté aux yeux. »
Source : Site officiel de l’AJA