L’arrêt du championnat de Ligue 2 en raison des situations sanitaires est inédite en France. De ce fait, chaque club a réagi comme il l’a pu à toutes les mesures de confinement qui empêchent leurs joueurs de poursuivre leur activité collectivement, et donc leur métier. Certains ont opté pour les congés payés, comme à Nancy, quand d’autres ont opté pour le chômage partiel.
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Mais l’UNFP, le principal syndicat des joueurs, a indiqué sur son site officiel à travers l’interview des présidents Philippe Piat et Sylvain Kastendeuch, que la solution des congés payés entre le 17 et le 31 mars devrait être privilégiée en harmonie par les clubs professionnels afin que tout le monde soit logé à la même enseigne, et pour que les choses soient plus lisibles.
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« Nous proposons la mise en congés des joueurs et joueuses sous contrat pour la période du 17 au 31 mars 2020 (soit cette semaine et la semaine prochaine sans aucune activité) pour répondre aujourd’hui à la situation extrême rencontrée et vécue par nos adhérents, explique l’UNFP. Les dispositions permettent aux clubs qui auraient déjà opté pour une activité partielle de modifier leur choix (…). En l’état, le mois d’avril serait – nous l’espérons tous – plus propice pour justifier une nouvelle et réelle période d’activité partielle avec un retour aux entraînements collectifs et des travaux de réathlétisation nécessaires avant toute reprise d’une compétition. »
