Orléans s’est invité parmi les grands. Parmi ceux qui se destinent à accrocher au moins les play-offs, et pourquoi pas la montée. Orléans s’est invité dans le championnat de Brest, qu’il défie ce vendredi soir (33e journée de Ligue 2). Un choc à Le Blé toujours sans pression, pour Didier Ollé-Nicolle et ses hommes. Ou bien, avec le minimum requis…
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« Nous sommes dans le money time. On le savait. Le mois d’avril est très costaud. Cela nous permet d’avoir, ou non, d’avoir un mois de mai décisif. Nous sommes pour le moment dans le tempo. Il reste 3 matchs en une semaine, contre Brest, Nancy et Troyes. Cela montre tout l’intérêt, la difficulté et le côté passionnant de cette semaine. Ce sont 3 échéances relevées. Il y a d’abord ce match à Brest. Un peu le même type d’équipe que Clermont, avec un vrai style basé sur la mobilité et des joueurs performants sur le plan offensif. Nous n’avons pas de pression, ou en tout cas il en faut un minimum. Il faut rester concentrés et avoir le minimum de pression, le minimum d’adrénaline.
On sait que ce match sera chaud. En général, contre les gros à l’extérieur, nous avons bien fonctionné. Ce match peut devenir un match référence, comme à Lorient (3-1), comme à Metz en Coupe de France. On s’est mis l’ambition d’être le plus haut possible. L’idée était d’être dans le premier tiers du championnat. Entre la 7e et la 5e place, à la fin, il peut y avoir très peu d’écart. Cela dépendra des confrontations directes aussi. Autant, il y a deux équipes bien parties pour la Ligue 1, autant il y a 5 autres équipes où ça se jouera à pas grand chose. »
Source : Site officiel de l’USO
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