Directeur général de Grenoble en Ligue 2, Max Marty est aussi membre du Conseil d’Administration de la LFP comme représentant de la L2. En marge de l’entretien bilan qu’il nous a accordé pour évoquer la saison du GF38 (article à venir sur ML2, ndlr), le dirigeant isérois en a aussi profité pour faire le point sur le dossier complexe des droits TV en Ligue 1 et en deuxième division. A l’heure actuelle, aucun diffuseur n’a encore été choisi pour la saison 2024-2025 des championnats professionnels…
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« Il y a deux positions par rapport au dossier des droits TV. En interne, j’affiche tout mon soutien à Vincent Labrune, Arnaud Rouger, et tous ceux qui négocient car c’est un sujet difficile. Je les sais impliqués à 1000% et H24 sur ce sujet. On attend le meilleur résultat possible mais je n’ai aucun doute de l’investissement total pour trouver la meilleure solution. En tant que club, par moments, il faut rassurer les collègues, car c’est dur de construire un budget sans les droits TV. La critique est facile quand on est dans le flou, mais quand on est dans les deux parties, on comprend les enjeux colossaux qui dépassent parfois le cadre du football. Cela prend beaucoup de temps pour convaincre et atteindre l’objectif souhaité. Je pense que la situation est très complexe pour les clubs de la L1 et de la L2. On doit tous se rallier derrière nos négociateurs et tout faire pour les aider. C’est leur intérêt de faire du mieux possible. Passer la DNCG dans la situation actuelle, c’est difficile. Tout le monde en est conscient. On espère que d’ici l’AG de juin, les choses seront réglées pour que les éléments financiers soient clairs pour tous. La critique est aisée, mais quand on voit les efforts consentis dans cette situation pas simple, j’ai confiance envers nos dirigeants actuels. »
Photo Alex Martin/FEP/Icon Sport
