Quatre jours après son déplacement à Bastia (1-1), le Paris FC se rend à Rodez pour disputer le premier play-off de Ligue 2. La dimension physique sera importante pour les visiteurs qui ont eu des derniers jours un peu plus difficile que les Ruthénois, entre la blessure de Kebbal, celle, plus légère de Mandouki, et une 38e journée plus éprouvante. En conférence de presse, le coach Stéphane Gilli a abordé ce défi.
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« L’ambition, c’est d’aller au bout et ça commence par un match difficile contre Rodez. Ils ont deux avantages, ils ont joué à domicile un match relativement facile (Rodez-Ajaccio, 2-0), on a vu qu’ils ont fait tourner. Ils n’ont pas eu de déplacement, ils reçoivent. Sur la fraîcheur, c’est quand même un petit plus dans des matchs comme ça. Ils ont tout pour passer mais on va aller là-bas pour les contrarier. Il y a trois semaines (0-1), on avait été cohérent, on les avait mis en difficulté, il faudra faire un peu plus. Si on n’est pas ambitieux maintenant, on le sera jamais. »
Sur la blessure d’Ilan Kebbal : « La seule surprise que j’ai , c’est que ce ne soit pas arrivé avant. Ça arrive à la 38e journée. Quand on entend les gens qui nous arbitre nous dire qu’il simule… Il ne simule pas beaucoup. J’aimerais parfois qu’il simule plus même si je n’ai pas le droit de le dire. Il est passé près plusieurs fois dans la saison. C’est un jeu de contact le football. Ilan a fini sa saison et sûrement le début de la saison prochaine […] Il paraît que sur la saison, ça s’équilibre. Ça ne s’est pas équilibré pour nous, que ce soit les penalties pour ou contre nous, les fautes… »
Photo ©Paris FC
