Championnat

Laval – Mamadou Samassa : « Il n’y a pas de pression du fait d’être premier »

A l’instar de toute l’équipe de Laval, samedi, Mamadou Samassa est pour la première fois de la saison passé à côté d’un match face à Concarneau (0-3) lors de la 14e journée de Ligue 2. Le gardien de but des Tango était l’invité de l’émission 100% Stade Lavallois lundi soir sur France Bleu Mayenne, avant une entrée en lice en Coupe de France contre l’US Provin (Régional 1). Les Tango ont pour objectif d’atteindre au moins les 32e de finale pour recevoir une équipe de L1 à Francis-Le Basser.

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« C’était un peu un match étrange ou rien ne nous a souri. Il faut passer à autre chose dès samedi en allant se qualifier à Provin […] Sur le premier but, je subis un peu le ballon. Il y a un petit rebond devant moi et comme je suis vers l’arrière, mes mains ne sont pas bien placées. Après, quand on est gardien et qu’on prend un but sur une erreur de sa part, il ne faut pas gamberger. Il restait encore beaucoup de temps. Le plus important était de rester concentré sur ce que j’avais à faire. »

Sur le début de saison de Laval : « Être dans les meilleures défenses du championnat, c’est gratifiant. Ce n’est pas que le travail du gardien. On a une équipe très solidaire. Quand on voit Malik (Tchokounté, l’attaquant de pointe) qui défend, qui fait des sprints pour se remettre dans le bloc, on voit qu’on a un très bon état d’esprit […] Il n’y a pas de pression du fait d’être premier mais on est plus attendus par les autres équipes qui nous voient différemment. Être en haut, ça nous donne de la force. Depuis que je suis arrivé, le stade est presque toujours plein. Pour nous les joueurs, c’est un plaisir de rendre heureux tout le monde »

À propos des objectifs : « On sait que Laval s’est maintenu à la dernière journée la saison dernière. Cette année, le président a fixé un objectif entre la première et la neuvième place. Aujourd’hui on est premiers mais on sait que c’est encore long. On n’a pas encore atteint les points du maintien. À partir du moment où on les aura atteint, on pourra voir les choses différemment. On en a 29, il en faut encore peut-être une quinzaine. À partir de là, on pourra peut-être discuter pour voir les choses autrement. »

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