Alors que la mauvaise nouvelle de la blessure aux adducteurs de Sam Sanna – qui sera éloigné des terrains pour au moins trois mois – est tombée, le Stade lavallois n’est pas dans les meilleures conditions pour le gros rendez-vous de la 26e journée. Laval s’apprête en effet a disputer le match le plus difficile de sa saison, au Stade Océane face au Havre ce samedi. Un défi de taille, car même s’il n’est pas impossible de prendre des points contre le HAC, cette équipe (qui s’était imposée 3-1 à Le-Basser à l’aller) n’a plus perdu depuis 23 matchs en Ligue 2.
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« C’est vrai que c’est un petit peu différent dans la préparation, on va jouer une équipe qui est invaincue depuis 23 matchs ! Maintenant, on a aussi, et c’est mon travail, demandé aux joueurs de croire à la possibilité de faire une performance. Évidemment, on a préparé quelque chose mais c’est vrai que c’est une préparation différente du match à Pau par exemple, où l’on jouait dans « notre championnat » face à un concurrent. Là, ça ne sera pas le cas, ça sera une autre adversité. On a beaucoup de respect pour le parcours du Havre, mais il ne faudra pas qu’on soit spectateurs samedi. Ce n’est pas une crainte, car tout le monde a conscience de la difficulté de la tâche. C’est ce qui rend l’éveil important. Plus on sait que c’est difficile, plus l’éveil est important. Je n’ai pas de crainte par rapport à ça. Et puis j’ai un petit challenge à titre personnel : j’ai vu sur Opta que l’équipe qui avait le record d’invincibilité (en L2) c’est Beauvais, en 1996-1997 (26 matchs, ndlr.). J’étais dans cette équipe-là ! »
🎙️ 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐅𝐫𝐚𝐩𝐨𝐥𝐥𝐢 : "Il y a beaucoup de respect pour le parcours du Havre, pour autant il ne faudra pas que l'on soit spectateur samedi soir !"
⌁#HACLAVAL pic.twitter.com/V6Kbzbfoas— Stade Lavallois (@stadelavallois) March 2, 2023
Photo Alexandre Dimou/FEP/Icon Sport
