Championnat

Caen – Stéphane Moulin avant Metz : « L’adversaire est de taille, ça ne dépend pas que de nous »

Toujours sur courant alternatif, le Stade Malherbe de Caen se déplace sur la pelouse du FC Metz ce lundi pour le match de la 23e journée de Ligue 2. Avec une dizaine de jours de préparation, les hommes de Stéphane Moulin ont axé leur travail sur les principes défensifs. Ceux-ci ne seront pas de trop contre des Grenats invaincus en championnat depuis la reprise.

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« Sur certains matches, on a montré qu’on pouvait rivaliser contre tout le monde. C’est quand les matches se répètent que les choses doivent perdurer. On est encore en déficit dans ce domaine-là, c’est ce qui fait que nous ne sommes que huitièmes. Dans nos moments difficiles, il faut réussir à passer quand même. Et qu’on ait beaucoup plus de bons moments. C’est ça l’objectif. » À Saint-Symphorien, Stéphane Moulin pourrait reconduire Emmanuel Ntim au poste d’arrière droit, en l’absence d’Hugo Vandermersch (suspendu) : « Dans l’ensemble, il avait été intéressant contre Bastia, dans son rôle offensif comme défensif. Malgré une fin de match difficile sur le plan physique, parce que ce n’est pas tout à fait les mêmes efforts à ce poste. Il faut trouver des solutions à ce poste. Je compte sur Hugo pour qu’il revienne à son meilleur niveau. Je lui ai dit qu’il y a des périodes, des saisons comme ça où il y a des creux. Il n’y a rien non plus d’exceptionnel. J’espère d’abord le retrouver lui. Mais la concurrence doit être saine et positive, elle oblige aussi le joueur du poste à montrer qu’il est présent. Si j’ai deux joueurs au poste, c’est mieux qu’un. J’ai aussi d’autres solutions – Noé Lebreton, Dieudonné Gaucho – mais pas 36 solutions non plus. »

Sur le FC Metz : « La surprise, c’est le temps qu’ils ont mis avant de trouver la bonne carburation. Ils sont revenus de très loin, comme quoi tout est possible quand on arrive à faire une série. L’adversaire est de taille, ça ne dépend pas que de nous. Ils ont de la vitesse, de la percussion, de la capacité à éliminer les adversaires quasiment dans toutes les zones du terrain. C’est ce qui rend ces équipes difficiles à lire. On doit être fort sur le plan collectif, mais il faudra être bon dans les duels au sol, être capable de bien défendre dans les uns contre uns et aussi collectivement. »

Source : Ouest-France

Crédit photo : Franco Arland/Icon Sport

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