Championnat

Bordeaux – David Guion se confie sur la concurrence et les choix à faire avant Metz

De nouveau leader de Ligue 2, Bordeaux accueille Metz ce samedi (15h) en ouverture de la 11e journée de Ligue 2 dans un choc d’ancien pensionnaires de l’élite. Avant cette rencontre, l’entraîneur David Guion s’est exprimé en conférence de presse, notamment sur la gestion de la concurrence au sein de son effectif.

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« Junior Mwanga remplaçant à Laval ? J’ai des choix à faire, de la concurrence. Mais j’ai des choix à faire aussi au milieu de terrain et en attaque avec d’autres joueurs. Si on veut se montrer ambitieux, c’est indispensable d’avoir de la concurrence. On a pour l’instant la chance de ne pas avoir trop de blessés et tout cela doit aider l’équipe à être performante et à obtenir des résultats. Les choix sportifs, c’est mon rôle à assumer. Mais encore une fois, il n’y a pas que Junior Mwanga. Malcom Bokélé est encore malade, il est venu faire un petit footing pour transpirer. On prendra une décision d’ici samedi. Le match contre Metz ? C’est un concurrent et c’est un prétendant à la montée. Ils ont 14 points, mais il y a eu ce match un peu bizarre contre Guingamp (3-6, à 8 contre 11). Ils sont là, c’est une équipe très puissante, avec des joueurs de qualité devant et au milieu. On les connaît bien pour les avoir joué l’an dernier en L1. L’entraîneur est très expérimenté, c’est une équipe qui sera en haut du classement. Mes choix sont liés à l’entraînement, la forme, l’adversaire et la complémentarité. Il faut aussi faire vivre le groupe car je veux que tout le monde soit concerné, je ne veux laisser personne sur le bord de la route. L’année où je suis monté avec Reims, on a pris 66 points contre les 11 derniers du classement. Donc la montée se joue sur tout le monde. On est à Bordeaux, il y a de l’exigence, j’en suis bien conscient. Mais il ne faut pas oublier d’où l’on vient, où nous étions il y a trois mois. Je ne pense pas que beaucoup de personnes auraient pensé qu’on puisse être leader après 10 journées. 19 équipes aimeraient être à notre place, il faut se le dire, c’est important de le souligner. »

Photo Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport

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