Après un début de saison au-dessus des espérances pour les Girondins de Bordeaux, le club va entamer une nouvelle phase dans sa saison en ce mois de septembre, avec le renforts de joueurs expérimentés (Badji, Barbet, Nsimba, Michelin et Davitashvili, dont l’officialisation du transfert a été annoncée par Admar Lopes, le directeur sportif). En attendant leur qualification, David Guion va devoir affronter le Paris FC, sans Issouf Sissoko, malade, dans un dernier match de Ligue 2 avec un effectif réduit.
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« On s’attaque à des montagnes avec ces trois matchs qui arrivent (Paris FC, Saint-Étienne, Dijon), trois équipes qui veulent monter à la fin de la saison. Ça va commencer par le PFC qui est une équipe très mature. Elle a de l’avance, elle a commencé son projet il y a plus d’un an avec la venue de Thierry (Laurey). Depuis elle n’a pratiquement recruté que des joueurs de Ligue 1, l’hiver dernier avec Iglesias, cette année avec Hamel. Là, ils ont pris Kebbal et Lefort. C’est une équipe qui a beaucoup d’ambition et, on le voit bien sur ce début de saison, qui est très difficile à bouger. C’est un gros défi qui nous attend demain à Charléty »
Sur l’état physique du groupe : « C’est une des interrogations que j’ai, enchaîner trois matchs en huit jours avec cette intensité là avec encore un match à 15 heures. Je trouve qu’ils récupèrent bien, c’est l’avantage de la jeunesse. J’ai essayé un peu de gérer sur le fin de match contre QRM (4-0) en sortant Josh (Maja) et Dilane (Bakwa). J’ai fait rentrer les petits (De Lima, Rocrou, Pirringuel, Depussay), ça leur a donné du temps de jeu. On attend avec impatience les cinq garçons, on est à flux tendus. On s’est vraiment concentrés sur la récupération entre les matchs. »
Photo ©Franco Arland/Icon Sport