Début janvier, Guingamp a eu peur de perdre son gardien titulaire Enzo Basilio jusqu’à la fin de la saison de Ligue 2. Touché au genou, la crainte d’une rupture des ligaments croisés est réelle en Bretagne. Finalement, le portier a pu reprendre sa place dès le 26 février face à Niort. Comment a-t-il pu revenir aussi vite ? Le principal concerné explique tout cela dans un entretien accordé au Télégramme.
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« Les délais ont été plus courts que ce qui avait été annoncé au départ. Une fois que nous avons été bien fixés sur la nature exacte de la blessure, on a pu mettre en place un protocole pour pouvoir revenir. Il devait durer huit semaines avec un retour pour le match de Sochaux (J27). Cela a été un peu plus rapide parce que le ressenti était bon, j’ai passé les étapes avec un peu d’avance. Franchement, je me suis bien remis, je n’ai ni douleurs ni appréhensions. Juste après la blessure, c’était l’une de mes craintes. Je ne voulais pas revivre ce que j’avais vécu à Valenciennes. J’avais eu très mal. On a eu différents avis et il a fallu trancher. On est parti sur une rupture partielle de grade 2 du ligament interne. Et sur ce type de blessure, il n’y a pas de chirurgie nécessaire. »
