Malgré sa 10e place en National 1, Laval n’a pas dit adieu à ses espoirs de monter. Si les 2 premières places paraissent inaccessibles, la 3e reste encore dans un coin de la tête des Tango. Notamment car ils n’ont disputé que 24 matchs. Soit 2 de moins que de nombreux adversaires directs. Le sprint final sera long, copieux. Il débute ce samedi soir par la réception d’un candidat à l’accession, Le Mans. L’attaquant Thomas Robinet sait que sa formation n’a plus de temps à perdre.
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« On a un potentiel, une vraie équipe. Sur les premiers matchs, toutes les équipes nous craignaient, on a montré des choses très intéressantes. Puis l’équipe a bougé, il y a eu des blessures, le Covid. […] On fait une saison vraiment moyenne, on est conscient que c’est un miracle de pouvoir encore espérer. Dans notre malheur, beaucoup d’équipes n’en ont pas profité pour faire le trou. »
Source : Ouest France