Pascal Plancque, démis de ses fonctions d’entraîneurs de Niort ce dimanche après la piteuse élimination en Coupe de France face à la JS Saint-Pierre (1-2), se dit « toujours sur la colère et même la honte » de ce match. Dans une longue interview accordée à nos confrères de La Nouvelle République, le désormais ex-coach niortais est revenu sur son expérience d’un an sur le banc des Chamois.
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Il évoque le projet « sympa » présenté au début, « à condition que toutes les planètes soient alignées ». Il regrette les nombreuses « blessures » qui n’ont pas épargné son groupe, mais aussi que ce dernier soit « épargné par de mauvaises décisions arbitrales ». Il ne « regrette » pas. « J’ai essayé de donner tout ce que je pouvais. Je me suis impliqué. J’ai essayé de faire travailler et progresser les jeunes », poursuit-il.
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Pascal Plancque le dit sans détour : « Je leur en veux parce que je ne ressens pas d’union sacrée. C’est ce qu’il manque », selon lui. Et de conclure sur un ressenti : « Le problème aux Chamois dépasse le problème de l’entraîneur. A un moment donné, la responsabilité doit aussi être partagée. »