Troyes aborde la nouvelle saison de Ligue 2 avec un tout nouveau staff technique, et surtout un coach qui doit faire ses preuves. En juin dernier, Laurent Batllès remplaçait un Rui Almeida parti à Caen. Un Rui Almeida qui avait toutefois su positionner l’ESTAC au 3e rang du championnat, après une série de 14 matchs sans défaite et de 8 victoires de rang. Daniel Masoni, le président aubois, ne boudait pas son plaisir.
A lire aussi >> Officiel : Troyes recrute Oualid El Hajjam
« C’est la meilleure série du club et c’est le record de Ligue 2. On se demandait quand ça allait s’arrêter. La façon de jouer était critiquée, mais le groupe était tellement solidaire. On était parfois mené et on arrivait toujours à revenir. On avait parfois l’impression que rien ne pouvait nous arriver, même si un match n’est jamais gagné d’avance. […] On n’a pas pris la mesure du travail de Rui Almeida. Il subissait des critiques mais il ne m’en a jamais parlé, il gardait tout pour lui. C’était d’ailleurs son défaut, de ne pas être un grand communiquant. En interne, il ne parlait pas trop mais c’est un coach moderne. Cette expérience à Troyes lui servira pour la suite car il en a quand même pris plein la gueule. »
Source : L’Est Eclair
masoni lol ce type est le pire président de foot de france
Pas mieux, comment peut on ensenser un coach incapable de s'exprimer dans un français compréhensible de tous, l'estac était devenue une nouvelle province portugaise, reste De Sousa en place, lui parti, on pourra envisager l'avenir enfin plus sereinement.