Valenciennes et ce paradoxe : 3e meilleure attaque (42 buts), dernière défense (48 buts). Valenciennes, c’est la quasi-assurance de voir les filets trembler, dans un sens ou dans l’autre. Valenciennes, c’est cette formation qui peut gagner 5-2 chez le 2e de Ligue 2, Brest, et s’incliner 4-1 une semaine plus tard à domicile contre Orléans.
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« Oui, ce sont des résultats marquants par l’ampleur du score, reconnaît Réginald Ray, qui tient à les nuancer. A chaque fois, les scores ne reflètent pas la physionomie des matchs, que ce soit à Brest ou contre l’USO. »
D’ailleurs, l’ancien technicien du PFC n’hésite pas à qualifier la performance dans le Finistère de « victoire dangereuse », car « le score peut tourner en faveur de Brest avant la demi-heure de jeu ». Une lucidité qui conduit au même constat, à froid, après le revers contre le club du Loiret : « Tout n’est pas à jeter, malgré un début de match catastrophique » où le VAFC a ouvert les vannes. Et contre « une équipe qui gère à la perfection les espaces, en plus d’être bonne en contre, vous le payez cash », dixit Réginald Ray.
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« La défaite contre Orléans ne gâche rien du tout »
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