A l’automne dernier, Alain Perrin arrivait au chevet de Nancy. Dans un premier temps comme conseiller du président Jean-Michel Roussier. Mais, devant les mauvais résultats de l’ASNL, alors lanterne rouge, les dirigeants lorrains avaient décidé d’écarter Didier Tholot et de propulser sur le banc l’ancien coach sochalien. Ce dernier n’avait accepté que parce que Nancy était son club de coeur. Philippe Hinschberger, prochain adversaire des Lorrains avec Grenoble (29e journée de Ligue 2), comprend l’impossibilité de refuser une telle proposition de son homologue.
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« Alain (Perrin, Ndlr) a finalement repris l’équipe, il n’a pas pu refuser et je le comprends. Si la même situation m’arrivait à Metz, je ferais comme lui, je ne pourrais pas dire non par rapport à mon attachement au club. Je ne sais pas si Alain sera encore entraîneur de l’ASNL la saison prochaine mais, s’il venait à continuer, je sais que ce ne serait pas pour viser le ventre mou de la L2, il le ferait avec l’ambition de jouer la montée en L1 ».
Source : L’Est Républicain
