Président de Béziers, Gérard Rocquet vient de vivre une formidable année 2018, ponctuée d’une montée historique en Ligue 2. Une année aussi exceptionnelle qu’usante sur le plan personnel. Car il a fallu, pour ce chef d’entreprise, modifier drastiquement le fonctionnement d’un club encore amateur au printemps. Il évoque chez nos confrères du Midi Libre ce changement.
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« Jusqu’à présent, je gérais tout assez bien. Mais depuis six mois, c’est devenu très difficile ! Le football professionnel demande vraiment un travail à temps plein. Je trouve des solutions pour avancer sur les deux tableaux, mais c’est très astreignant. Je connais d’ailleurs beaucoup de présidents ou de présidents délégués qui ne font que s’occuper de leur club. Je les comprends car toutes les heures, il y a quelque chose à faire ! J’ai dû m’organiser différemment. Sachant que les quatre à cinq premiers mois, j’ai perdu beaucoup d’énergie à mettre en place les nouvelles structures, à surveiller la mise aux normes du stade de la Méditerranée. Il m’a fallu être très présent. »