Mi-septembre, le président de Valenciennes Eddy Zdziech annonçait que son club était à vendre. Il n’a guère eu le choix, après la candidature de Patrick Partouche via Twitter, pour l’heure le seul sur la ligne. Mais aussi par la volonté répétée des fans nordistes de voir le patron valenciennois quitter un siège qu’il occupe depuis 2014. Il ne nie pas que cette pression devient dur à supporter…
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« C’est bien la pression, qui est quand même assez forte, qui m’oblige à vendre. Il y a eu un tweet, une interview et un article le jour où on se déplace à Ajaccio. Moi et mes actionnaires ont de nombreux messages de soutien. Mais ce que j’ai lu m’a profondément choqué. Gérer le club »en bon père de famille » (dixit Partouche) n’est pas une nouveauté à Valenciennes. On vit avec cette pression qui est assez insupportable. Elle vient notamment des supporters et elle est légitime. Mon regret est de ne pas aller plus vite dans notre projet. Il y a une attente de ceux qui aiment le club. Après, des candidats se déclarent. Tant mieux. Cette pression ne nous laisse pas le temps de continuer. »
Source : L’Equipe