Arrivé cette année de l’APOEL Nicosie, Yohan Tavares n’est apparu avec l’ESTAC qu’à trois reprises : face à Mouscron en amical (victoire 1-0), face à Niort (victoire 2-0) et contre Le Havre (1-1). Un bon bilan en termes de points pour le défenseur franco-portugais de 30 ans, au vu du début de saison de Troyes, 16ème, avec 7 points en 7 matchs de Ligue 2. Depuis qu’il est placé dans la défense troyenne, son équipe n’a plus pris de but (hormis sur coups de pied arrêtés). Rui Almeida aurait-il trouver son nouveau cadenas défensif ? Mais là n’est pas le plus important pour Yohan Tavares. Heureux d’avoir rejoint Troyes, le défenseur est désormais prêt à renforcer le groupe et à le faire remonter au classement.
À lire aussi >> ESTAC – Les premiers mots de Martins Pereira, Camara et Poaty
« Je n’avais jamais encore joué un match professionnel en France. Ça se passe bien. Il faut dire que j’ai un avantage : je parle la même langue que mes coéquipiers. Ça aide. Je travaille tous les jours avec l’envie d’aider le club et l’équipe. J’ai été bien accueilli, la ville est sympa. Ça me plait. Je suis un grand voyageur et ça ne m’a pas dérangé ou perturbé de changer d’horizon (…) Une équipe doit défendre et attaquer à onze. Le premier défenseur, c’est l’attaquant et vice-versa. Sinon, c’est plus dur. On a été fort défensivement sur nos derniers matches parce qu’on forme un bloc compact. C’est important dans le football moderne. Le Havre n’a eu, autant que je m’en souvienne, qu’une ou deux actions dangereuses. Pas plus. C’est d’autant plus important qu’une fois le ballon récupéré, vous pouvez mieux trouver les espaces ».
À lire aussi >> Rui Almeida : « Le sentiment d’avoir perdu deux points » après le nul contre Le Havre
Source : Site officiel ESTAC
