Le marché des transferts connaît un petit moment de tension ce mercredi entre la Ligue 2 et la Ligue 1. Après avoir levé l’option d’achat de l’attaquant Sud-Coréen Hyun-Jun Suk auprès de Porto, l’ESTAC a vendu son joueur à l’échelon supérieur au Stade de Reims, non sans avoir adressé une pique au joueur au moment d’officialiser la nouvelle, indiquant qu’il avait eu un comportement « non-professionnel ».
Un tacle auprès de Suk que ne supporte pas le président du Stade de Reims, Jean-Pierre Caillot. Qui a tenu à répondre à ses homologues de Troyes dans un communiqué. « Je n’accepte pas que l’on écrive des contre-vérités sur l’un de nos joueurs. Et en tant que dirigeant d’entreprise et de club, je ne peux que m’offusquer devant la mauvaise foi et les écrits déplacés d’un employeur à l’égard de son ancien salarié. L’option d’achat de Suk a été levée par les dirigeants troyens durant ce mercato, à une période où l’intérêt de clubs de Ligue 1 Conforama pour le joueur était connu. Le pacte était clair et porté à la connaissance de l’attaquant international : en cas d’offre satisfaisante à l’échelon supérieur, Suk disposerait d’un bon de sortie.
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« Jamais le club voisin n’a affirmé qu’il n’était pas vendeur »
D’ailleurs, à ma connaissance, jamais le club voisin n’a affirmé qu’il n’était pas vendeur de son buteur fraîchement transféré. Un montant était même fixé, permettant une juteuse opération financière pour l’ESTAC… Dès lors que nous nous sommes positionnés sur ce dossier et que le joueur a eu écho de notre intérêt prononcé et de notre offre ferme, la donne a subitement changé et le joueur est subitement devenu intransférable… Ce dernier, qualifié de « bon mec à la mentalité exemplaire » par son Président la saison dernière, l’a vécu comme une injustice et a simplement fait respecter la parole donnée. »
Si j'encrois l'article, c'est l'attitude du joueur et non le stade de reims qui est montré du doigt.