Jacques Rousselot vient une année 2017 bien compliquée. Entre le sportif (une descente en Domino’s Ligue 2, un démarrage poussif, le limogeage de Pablo Correa…) et une santé précaire dernièrement (infarctus), le patron de l’AS Nancy-Lorraine n’a pas été épargné. Aujourd’hui, s’il est toujours le numéro un de l’ASNL, son souhait rester de passer la main.
« Ma volonté est toujours là même, il faut savoir tourner les pages. Même si je ne suis plus un acteur essentiel, je continuerai à aller voir l’ASNL, les hommes et les femmes d’ailleurs. La vente suit son cours, il y a trois ou quatre repreneurs potentiels, il faut qu’il y en ait un qui me plaît. Qui s’engage sur mes priorités, sur le stade également. C’est difficile. […] Je suis peut-être trop exigeant et il est clair aussi que notre situation sportive n’arrange rien. C’est handicapant, alors je prends mon temps. »
Source : L’Est Républicain