Le Stade Brestois a chuté en Bourgogne. Vendredi, le leader bretons a été battu 3-1 par de réalistes Auxerrois (25e journée de Ligue 2). Cela n’enlevait pas le sourire du visage de Jean-Marc Furlan. Le coach finistérien ne se trouvait pas inquiet, car ses joueurs ont respecté à la lettre ses consignes, mais se sont heurtés à un mur icaunais…
« J’avais mis en garde sur le fait que c’était le match piège. Car on allait tomber sur un bloc défensif qui ne bouge pas de ses 30 mètres. La première fois qu’Hartock touchait le ballon, c’était pour aller la chercher au fond. Il fallait assumer notre domination totale et sans ambiguïté. Sur un terrain très difficile à jouer face à une équipe ultra-défensive, ça allait être compliqué de passer ce bloc. Nous sommes battus sur 3 contres en étant dominateurs. Cela fait partie du jeu. C’était ça où on ne jouait pas du tout. Et il fallait faire un huis clos. C’est mieux, car si tu ne joues plus…
Nous avons assumé notre football, à fond dans notre entreprise. Le scénario idéal était de marquer. Cela fait partie du jeu, du championnat et du football. Je ne suis pas inquiet car les intentions ont été respectées. Perturbées énormément par l’état du terrain. Nous sommes dans une entreprise de travail où il faut assumer son football et jouer ainsi. Pour, plus tard, maîtriser ce genre de rencontre et marquer le premier but.«
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