Billets d'humeur

En Ligue 2, le samedi, c’est pénurie…

Dieu qu’on l’aime, notre Ligue 2. Mais le samedi, elle devient affligeante. A une heure de grande écoute (15h), sous la chaleur accablante d’un août décidément bien de saison, elle nous mène à l’agonie. Le choc de la journée, choisi par les caméras de nos valeureux confrères de BeIN Sports, se transforme en flop.

Hadzibegic_Valenciennes
Coach Faruk, un mot ? … Merci coach.

Bon, quand tu choisis 2 fois un Jean-Bouin où l’hôte d’adoption ne connaît pas l’odeur de la cage, forcément, tu ne peux guère t’attendre à mieux. Le Red Star ? C’est l’assurance de se requinquer après la folle soirée du vendredi et du combo Multi-sortie. Le moteur ronronne comme le ronflement des anciens devant les Feux de l’amour (peace les aficionados de la série).

Alors pour suivre l’entrain spectaculaire des Audoniens, Valenciennes, Reims, Lens, Auxerre et Le Havre se sont mis sur le même tempo. Amiens, lui, avait commencé par un zéro pointé. Mais Strasbourg et la Meinau avaient égayé notre aprem. Puis les Picards ont su se racheter à Lens, scorant le 2e et dernier but du samedi à 15.

Oui, 2 buts en 450 minutes. On est proche, tout proche d’une grève made in CGT. On compte donc sur Le Havre et Valenciennes (6e journée) pour nous redonner un petit sourire et l’envie de suivre avec passion et acharnement cette L2 autrement sympathique. Pas folle, pas encore. Mais il y a du mieux. Et puis si notre coup de gueule pouvait avoir la même conséquence qu’après la première journée, on prend. Allez, on compte sur vous et bonne trêve !

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