Les soucis apparaissent-ils dans le ciel aubois ? Leader incontesté de l’antichambre, Troyes baisse la cadence. Sur les quinze derniers points mis en jeu, la formation de Jean-Marc Furlan n’en a décroché que cinq. Un seul succès, deux nuls et, plus inquiétant, deux revers. Elle n’a pas su garder son avance face au Havre la semaine dernière. Si bien que le matelas se réduit. Le confort devient moins évident. Les nuits plus courtes et, sans nul doute, ça doit cogiter sévère.
Certes, il n’y a pas le feu au lac. L’ESTAC possède toujours sept longueurs d’avance sur le quatrième Brest. Mais les expériences passées ont appris à ne plus perdre de temps en route. Plus vite la montée assurée, mieux se préparera l’exercice à venir. Mieux, aussi, le projet de jeu du coach troyen se verra récompensé à sa juste mesure. Pour l’heure, ce dernier avoue que son équipe se trouve dans « le creux de la vague ». Un creux s’expliquant par la volonté farouche de l’adversaire de « taper » le leader. Manque de pot, Clermont, Valenciennes et Créteil ont déjà l’idée d’un exploit en tête. Mars peut devenir le mois de tous les dangers. Et Troyes se voir remonter quatre à quatre par ses poursuivants.
Je pense que l' ESTAC sera bien en L1 l'an prochain mais je me souviens du FC Metz qui à fait l'an passé quasiment toute la saison en tête de L2 . Club qui est aussi expérimenté que l'ESTAC pour la L1 . Etre premier ne suffit plus aujourd'hui il faut une équipe compétitive ! Je suis Haut Marnais d'origine alors ...allez l'ESTAC !!!