Châteauroux, 13e de Ligue 2, dispose toujours d’un petit matelas confortable d’avance sur la zone rouge. Vendredi soir, les Berrichons ont pris un point devant Grenoble (2-2, 23e journée) au terme d’un match alerte, vivant et attrayant. Nicolas Usaï considère, à raison, qu’il s’agit d’une unité de plus dans l’optique du maintien, avant de se rendre à Nancy vendredi prochain.
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« Dans le dernier quart d’heure, on avait le sentiment que ça parait de tous les côtés. On aurait pu assister à un but qui aurait mi K-O l’adversaire. Au niveau du contenu, c’était satisfaisant. Mais notre bloc s’est ensuite délité. Les 2 blocs étaient coupés en deux. En gagnant ce match, nous aurions été très heureux car les 2 équipes ont joué. Nous avons assisté à un match agréable, même si les phases arrêtées allaient être déterminantes. Cela s’est passé comme ça. Il y a des motifs de satisfaction.
Sur le plan comptable, c’est un résultat en demi-teinte, car nous aimerions gagner à la maison, surtout en ouvrant le score. Malheureusement, nous constatons que l’adversaire était de qualité, a mis du jeu. Le nul est logique. Il a manqué un peu d’adresse sur les situations de centre, sur la justesse, le tempo des appels, la coordination des courses qui fait qu’il y a des zones à occuper. Ce que l’on a pas fait en première période. Cela se joue à rien. On parlait du déficit offensif des attaquants. Cela fait 2 matchs qu’ils marquent. Il y a des motifs de satisfaction.
Nous sommes le 1er février, nous avons quelques mois de compétition, et nous allons tout faire pour aller chercher les points qu’il faut, avec Nancy qui arrive, puis Orléans. C’est excitant. »
