Mardi 4 décembre, la Ligue de football professionnel a annoncé la nouvelle répartition des droits télé pour la Ligue 2 pour la période 2020-2024. Mediapro et beIN Sports se partageront la diffusion de notre championnat, pour une enveloppe globale de 64 millions d’euros (contre 22 millions pour la période actuelle).
A lire aussi >> https://maligue2.wpsite.fr/2018/11/30/stat-florent-ogier-clermont-foot-63-maitre-des-duels-defensifs-en-ligue-2/
Mais le président du Clermont Foot, Claude Michy, également président de l’UCPF, le syndicat des clubs, tient à calmer l’emballement autour d’un nouvel enrichissement pour les clubs de Ligue 2. « Les collectivités locales ou les agents de joueurs ne doivent pas s’imaginer que ce Championnat va tout à coup devenir très riche parce que les droits vont tripler. À clé de répartition constante, les clubs vont gagner 500 000 euros de plus environ chaque saison et non deux millions comme ont pu l’avancer certains », explique-t-il dans L’Equipe.
A lire aussi >> https://maligue2.wpsite.fr/2018/11/29/officiel-jerome-phojo-prolonge-avec-le-clermont-foot/
Pourquoi 500 000 euros par entité ? « Il est possible qu’il y ait une nouvelle répartition, négociée avant 2020, mais selon la règle en vigueur, la part de la Ligue 2 est de toute façon limitée à 110 M€ (sur l’ensemble des droits télé de L2 et de L1, sur lesquels la L2 touche un pourcentage). Soit une douzaine de millions de plus qu’aujourd’hui pour 20 clubs. Faites le calcul, on arrive aux 500 000 euros environ par club et par an… » Pas de quoi véritablement gonfler les budgets donc, selon Claude Michy.