Les semaines se suivent et se ressemblent pour l’AS Nancy-Lorraine. Ce vendredi soir, les Lorrains ont été défaits 1-0 à Châteauroux (6e journée de Ligue 2). Ils ne sont plus que jamais lanterne rouge, avec aucun point ni aucun but marqué. Didier Tholot n’est pas abattu et voit la trêve internationale comme un moyen de panser les plaies, et de repartir le couteau entre les dents. Un peu à l’image d’un Nîmes il y a 3 ans…
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« A part le coup-franc castelroussin, il n’y a pas grand chose. L’état d’esprit de mon équipe en 2e période a été très bon. Nous avons poussé. Nous avons acculé cette formation de Châteauroux dans sa moitié de terrain. Le coup-franc de Merghem est dans la lunette, la frappe de Bassi tape la barre et elle sort. C’est une sale période qui dure…et nous n’avons toujours pas de point. C’est le plus ennuyeux et, en plus, de ne pas encore avoir pu marquer. Nous avons fait beaucoup d’effort. Nous sommes allés de l’avant. Il y a plein de frappes déviées. Nous retenons cela. Nous essayons de jouer sur tous les ressorts. Nous n’avons personne pour la mettre au fond… Après, j’ai aimé la réaction des joueurs.
Je continue à travailler. J’ai discuté avec mon président. Je ne prends pas les décisions. Il est conscient de plein de choses. Moi aussi. De bosser plus ou de m’investir plus, je ne peux pas.
On va panser les têtes. Le bilan comptable, nous ne l’effacerons pas. Aujourd’hui, il y a une trêve internationale. Il faudra se reposer, récupérer et travailler, pour être dans une situation de Nîmes, quand l’équipe a commencé avec -8 points en 2015. Nous allons commencé ce championnat comme eux finalement. »
Allez Nancy tenez bon. Ça va sourire. C est dans la tempête que l on reconnait le bon capitaine et les vrais supporters