Saison après saison, le même constat demeure. Les gros budgets ne parviennent pas à se hisser sur le podium de Domino’s Ligue 2. Pis, aucun des 3 premiers budgets 2017-2018 n’est parvenu à faire mieux que 7e (Lorient). Auxerre, 11e avec le 2e budget, et le RC Lens, 14e avec le premier budget de l’antichambre du foot français, sont très loin derrière et ont même dû lutter pour le maintien. Gros budget ne rime donc pas avec réussite.
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A l’inverse, les « moyens » ont fait le spectacle. Certes, le champion incontesté Reims bénéficiait du 5e budget et a, pour le moins, fait honneur à son rang. Mais, derrière, ses poursuivants ont tous un budget qualifié de moyen en L2. Voire même de très bas. Ainsi, le 6e de la saison régulière Clermont a fait des miracles avec le 19e et avant-dernier budget. Quant aux autres, ils sont parvenus à grimper en Ligue 1 avec le 12e budget (Nîmes) où à se qualifier pour les play-offs avec le 9e, 7e et 8e budget.
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Des gros sont tombés et des petits ont su exister. Mais pas tous. Ainsi, le GFC Ajaccio, 16e budget, a terminé à la… 16e place du championnat. Le seul à respecter entièrement son rang. Dans la zone rouge, QRM fait respecter une certaine logique, alors que Tours peut se dire que le chiffre 13 ne lui a pas porté chance…
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