A Orléans vendredi, Tours a décroché son deuxième point de la saison (1-1, 9e journée de Ligue 2). Un nul fondateur doit espérer Gilbert Zoonekynd, après notamment l’humiliation reçue face à Nîmes (0-4, 8e journée). Le technicien tourangeau entrevoit des lendemains meilleurs :
« C’est un vrai match de foot. Nous avons enfin fait un match plein. Avec des imperfections, certainement. Mais pour un convalescent comme nous, c’est appréciable de constater que nous avons retrouvé des valeurs de base. Il arrive un moment où tout à chacun fait preuve d’orgueil et de fierté. On a frôlé, on a même atteint un certain degré d’humiliation contre Nîmes. Et une réaction comme celle-ci était devenue indispensable.
Il reste 28 matchs. Bien sûr que oui que l’on peut s’en sortir. Quand on voit la prestation de Nîmes chez nous mardi dernier, qui peut imaginer qu’ils perdent 5-1 contre Niort ? Pourtant, c’est arrivé. Qui peut imaginer qu’Ajaccio gagne 6-1 à Sochaux ? Si on fait le nécessaire, on peut inverser la tendance. Mais il faudra du temps. »
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